mercredi 26 août 2009

Lettre de Soutien à Marcel VERVLOESEM

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Objet : : LUTTE CONTRE LA PEDOCRIMINALITE ET SES RESEAUX POLITIQUES

DESTINATAIRE :

Monsieur Marcel VERVLOESEM
Lettre de soutien
Envers un collègue Policier
Détenu Arbitrairement
par le Pouvoir Politique BELGE.

EXPEDITEUR :
Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

PEDOPHILIE A CANNES : TAPEZ L'URL SUIVANTE :

http://droitfondamental.eu/

Lettre de Soutien à Marcel VERVLOESEM

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Objet : : LUTTE CONTRE LA PEDOCRIMINALITE ET SES RESEAUX POLITIQUES

DESTINATAIRE :

Monsieur Marcel VERVLOESEM
Lettre de soutien
Envers un collègue Policier
Détenu Arbitrairement
par le Pouvoir Politique BELGE.

EXPEDITEUR :
Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

PEDOPHILIE A CANNES : TAPEZ L'URL SUIVANTE :

http://droitfondamental.eu/

Lettre de Soutien à Marcel VERVLOESEM

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Objet : : LUTTE CONTRE LA PEDOCRIMINALITE ET SES RESEAUX POLITIQUES

DESTINATAIRE :

Monsieur Marcel VERVLOESEM
Lettre de soutien
Envers un collègue Policier
Détenu Arbitrairement
par le Pouvoir Politique BELGE.

EXPEDITEUR :
Patrice VERDI
B/C de Police Municipale
MATRICULE N° : 096632 06400 CANNES

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 26/09/09
à
Monsieur Marcel VERVLOESEM
C/O : GEVANGENIS TURNHOUT WEZENSTRAAT, 1
2300 TURNHOUT BELGIQUE

Monsieur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous exprimer clairement mon soutien moral ainsi que ma volonté de vous faire sortir au plus vite de prison afin que des soins appropriés vous soient prodigués.
J’ai de l’admiration pour votre courage dans le fait de dénoncer des affaires d’Etat, ce qui représente un lien indestructible entre nos personnalités fortes et honnêtes car je dénonce un réseau de pédophilie qui lie la ville de CANNES au scandale des orphelins d’auteuil couvert par le gouvernement Français et ses institutions de lâches et de pervers qui se cooptent dans une volonté de destruction morale et physique des personnes faibles ou fragiles à l’image de tous ces enfants maltraités et tués par des pédophiles parfois récidivistes totalement protégés par les
services de Police qui ne souhaitent pas connaître nos péripéties car de toute évidence, ces rebuts se rasent tous les matins sans miroir chez eux.
Sachez, mon ami, si je peux user de ce terme familier, que le destin d’un homme est tracé, la vie n’est finalement
qu’une illusion.
Le destin donc de beaucoup de pédophiles sera celui que je leur réserve désormais car la peur naît d’un réflexe pavlovien qu’il faut combattre comme une maladie donc si vous vous focalisez sur le fait que vos ennuis sont proportionnels à leur échec, soyez heureux car ils ont déjà perdu la partie grâce aux nombreuses actions des membres de la fondation WERKGROEP MORKHOVEN dont vous êtes et restez l’un des piliers essentiels à cette noble cause qui nous est commune.
Je tiens à vous préciser que nos destins sont exceptionnels, car nous ne serons jamais des victimes, nous ne sommes, ni fragiles, ni idiots et nous connaissons les techniques des ces ordures bardés de décoration et que tout le monde salue pour le moment avant de les conspuer prochainement car je vais dénoncer votre incarcération de façon efficace et de manière totalement exponentielle.
Je vous prie de croire Monsieur Marcel VERVLOESEM dans le fait que l’intelligence qui fait jaillir l’humanité ne cèdera jamais face à la violence d’ETAT qui vous est infligée par tous ces lâches.

A bientôt, nous sommes tous à vos côtés 24h/24h et 7J/7J.

VERDI Patrice

PS : J’espère pouvoir vous rencontrer un jour prochain afin que nous puissions partager de l’amitié et de la coopération pour notre lutte qui n’est certainement pas utopique, à l’image des actions menées par la merveilleuse Princesse de CROY qui a accepté de mettre en ligne mon histoire de réseau de pédophilie à CANNES qui commence à gêner tous ces intouchables qui ne le seront bientôt plus et dont votre disparition ou la mienne serait certainement plus un problème qu’un soulagement car un mythe reste indubitablement et pour toujours, éternel.

PEDOPHILIE A CANNES : TAPEZ L'URL SUIVANTE :

http://droitfondamental.eu/

mardi 18 août 2009

AUGMENTEZ VOS REVENUS : CLIQUEZ SUR L'UN DES BILLETS ET DECOUVREZ COMMENT.....





Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

AUGMENTEZ VOS REVENUS : CLIQUEZ SUR L'UN DES BILLETS ET DECOUVREZ COMMENT.....





Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

PROCUREUR - TGI GRASSE - HARCELEMENT SOCIAL

Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

PROCUREUR - TGI GRASSE - HARCELEMENT SOCIAL

Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

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Monsieur VERDI Patrice

Cannes le 10/08/09

à

Monsieur le Procureur du Tribunal de Grande Instance de GRASSE

37 av Pierre Sémard BP71029 06130 GRASSE Tel :04 92 60 72 00 Fax : 04 92 60 72 35

Monsieur le Procureur,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de faire appel à votre pouvoir administratif et judiciaire car je suis dans une situation sociale catastrophique.
J’ai l’impression que tous les principes de morale, de droit et d’équité ont disparu à CANNES et peut-être même dans toute la FRANCE.

Je viens de recevoir un courrier de la CPAM en date du 30/07/09 qui me précise la suspension totale de mes indemnités maladie à compter du 13/07/09 pour non présentation à une convocation de contrôle de cette même date. Je vous précise que le 13/07/09, je me suis présenté au CH de GRASSE pour un malaise cardiaque, les médecins ont d’ailleurs voulu m’hospitaliser mais j’ai refusé de rester car j’ai mon dossier pour la cour d’appel administrative à terminer. J’ai donc transmis au Docteur MONCADA une lettre qui justifiait mon absence accompagnée du bulletin d’hospitalisation du CH de GRASSE mais aussi le fait établi que je ne dépends pas de la CNAMTS.

J’ai appris que le Docteur MONCADA avait sommé illégalement mon médecin référant le Docteur Robineau de lui adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois, ce qui n’a jamais été le cas, d’ailleurs le Docteur MONCADA avait déjà envoyé l’un de ces protocoles de soins pré-remplis en ALD afin de m’éclairer sur la volonté médicale de la CPAM ou d’autres personnes affiliées, d’empêcher toute réintégration sociale prouvée d’ailleurs par le fait inadmissible que la mention titulaire invalidité soit mentionnée sur mes fiches de paie sans qu’aucune commission administrative de réforme n’ait été saisie à ma connaissance et que ce fait délictuel commis intentionnellement par la ville de CANNES associé également à la disparition inattendue et inexpliquée de mon septième échelon a entraîné la suspension de mes cotisations à la CNRACL depuis plus d’un an alors que j’atteignais effectivement les quinze années d’ancienneté pour une éventuelle retraite du service.

La causalité de ces protocoles de soins préétablis et de cette décision injustifiée de la CPAM est à mon sens la volonté unanime de la CNAMTS et de la ville de CANNES de justifier la mention « titulaire invalidité » ou de demander une expertise psychiatrique afin de me discréditer socialement en usant de pressions sociales et financières totalement injustes et parfaitement illégales qui tendent à me dissuader dans ma croisade presque utopique contre la pédocriminalité qui n’existe pas à CANNES.

Je souhaite, Monsieur le Procureur, pouvoir compter sur votre aide dans cette nouvelle affaire qui me conforte dans l’idée que ce marché humain plus lucratif que la drogue soit couvert et remet en cause profondément le rôle confus de la Police et de la Justice pour régler ce type de problème Européen à l’image des réseaux ZANDVOORT et KRIPTEN dont les témoins, civils, policiers ou magistrats ont été assassinés, suicidés, dessaisis, incarcérés, déclarés fous ou inaptes par leurs administrations respectives de tutelle.

Je vous prie de croire Monsieur le Procureur, en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que je ne resterai pas sans ressource afin que l’administration puisse un jour me reprocher la non application de l’article 213 du code civil.

VERDI P

PJ : Copie de la lettre en date du 13/07/09 accompagnée du bulletin du CH de GRASSE adressée au Docteur MONCADA et remis en main propre par mon épouse à Madame GIRAUD, secrétaire du docteur précité.

Copie de la Notification de refus administratif de la CPAM en date du 03/06/08.

Copie de la Notification de la suspension de mes indemnités en date du 30/07/09 émise par Madame MOLINIER de la CPAM.

Copie Fiche de Paie du 07/06 et 07/09 me rétrogradant du septième au sixième échelon avec mention : Titulaire Invalidité.

Copie Arrêté Portant Avancement au septième Echelon à l’ancienneté maximum reçu le 22/05/03 par la SP de GRASSE.

CPAM - HARCELEMENT - SERVICE MEDICAL

Monsieur VERDI Patrice Cannes

le 13/07/09

au

Docteur Concetto MONCADA
24 Bd astegiano 2 Eme Etage – B205
Service Médical 06150 CANNES LA BOCCA

Docteur MONCADA,

J’ai l’honneur de vous écrire afin de vous préciser par le présent courrier que je me suis présenté ce jour en début de matinée au service des urgences de l’hôpital de GRASSE pour un malaise cardiaque, de ce fait je n’ai pas pu me présenter à votre convocation.
J’ai appris que vous aviez sommé mon médecin référant le Docteur Robineau de vous adresser dans un délai maximum de quinze jours à compter du 06/07/09, le document « protocole de soins » relatif à l’article L324-1 du CSS qui concerne l’interruption de travail supérieure à six mois.

Je tiens à vous préciser que votre demande n’est pas justifiée car je suis en arrêt maladie depuis moins de six mois et qu’en vertu de l’article précité, ce document qui comporte uniquement le diagnostic suivant : Troubles axio-dépressifs n’entre pas encore dans le protocole de soins qui semble tant vous préoccuper ainsi que le service du contrôle médical de la région PACA.

Je vous signale pour information que le certificat du 17/05/02 du Professeur ROURE atteste non seulement de mon excellent état de santé mentale mais démontre aussi clairement dans son alinéa second que l’administration s’est fourvoyée volontairement par l’injonction thérapeutique qui a tenté en vain de me faire passer pour fou pour des raisons politiques afin que le système soit préservé définitivement d’un flic qui dénonce une affaire de pédophilie.
D’autre part, usant d’un protocole semblable dans son intention, le docteur ORLER, psychiatre au CH de CANNES, qui est donc lié indubitablement de près ou de loin à son Député Maire, Monsieur Bernard BROCHAND, a essayé également en vain et bien maladroitement d’obtenir une réponse épidermique et emportée de ma part en me refusant catégoriquement et sans logique apparente en théorie, d’émettre un arrêt de travail pour des troubles anxio-dépressifs alors qu’il me l’avait accordé deux mois auparavant, j’ai donc avisé le CDOM des AM et de tous les départements Français concernant son attitude incohérente et sans aucune logique pour des esprits non avertis qui omettent par lâcheté sociale d’admettre le fait incontestable que la pédophilie touche bien évidemment toutes les CSP de notre pays mais jamais des Politiques ou des Fonctionnaires de Premier Plan car personne ne peut être juge et partie à la fois.

J’espère donc docteur MONCADA que vous n’espérez pas vous abaisser à perpétuer de telles pratiques de déstabilisation, de manipulation et de pression sociale et économique pitoyable sur ma famille car sans vouloir me formaliser, je souhaite que le service médical ; de la CPAM qui m’a notifié un refus administratif en date du 03/06/08 car je ne dépends pas du régime général mais celui des fonctionnaires donc en aucun cas de la CNAMTS mais aussi et uniquement de la commission administrative de réforme d’un point de vue professionnel ; et vous-même arrêtiez de me harceler pour me voir chaque semaine car si vous avez décidé arbitrairement de demander une expertise psychiatrique orientée par un système coopté de toute évidence et en majorité par les parquets qui négligent mes droits depuis des années ou de me déclarer en ALD en vous substituant de façon détournée à la médecine du travail afin de permettre au TA de NICE, d’empêcher ma réintégration sociale devant des éléments de justice accablants pour la ville de CANNES, en se dédouanant finalement par votre simple intermédiaire de cette affaire nationale grave qui est diffusée sur le net et remet en cause profondément l’institution judiciaire dans son intégralité, c’est votre responsabilité de façon nominative et celle de vos services locaux ou nationaux qui sera engagée pleinement dans cette cabale médicale qui tend à couvrir des Politiques.

Je me réserve donc le droit d’ajouter cet article sur le net afin que les responsabilités de chacun soient précisées clairement et appréciées publiquement par les internautes mais aussi par les deux ministères de tutelle dont vous dépendez.

Je vous prie de croire Docteur MONCADA en l’expression de mes salutations distinguées.
VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.

PS : PEDOPHILIE A CANNES sur GOOGLE ou tout autre moteur de recherche.

dimanche 16 août 2009

UNCAM - CNAMTS - DECISION POLITIQUE PREETABLIE

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
Monsieur le Directeur
CNAMTS-UNCAM
50 av Prof André Lemierre
75986 PARIS CEDEX
Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.
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Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer

Child Trade Zandvoort Sectes Justice Prison Logement ID service Who'sWho Index


Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer
†15 novembre 1998 †
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint le Werkgroep Morkhoven, à l'occassion de la découverte du réseau Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené l'association, au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un "film snuff", où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar "Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui "rataient" chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé "Faits divers" de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru "hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources", avait-elle dit au journal "De Morgen".
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- "Avec ce que j'ai découvert", dit-elle, "soit la Belgique explose, soit je suis assassinée".
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Les membres du Werkgroep Morkhoven, qui admiraient Gina Pardaens-Bernaer, furent brisés par ce meurtre, qui aurait pu être évité si la police avait rempli son devoir. Le Mémorial de Zandvoort, à l'occasion du dixième anniversaire de la découverte du réseau sera aussi fait en son honneur.
Adieu Gina, on ne t'oubliera jamais...

UNCAM - CNAMTS - DECISION POLITIQUE PREETABLIE

Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
Monsieur le Directeur
CNAMTS-UNCAM
50 av Prof André Lemierre
75986 PARIS CEDEX
Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

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Monsieur VERDI Patrice Cannes le 14/08/09
à
Monsieur le Directeur
CNAMTS-UNCAM
50 av Prof André Lemierre
75986 PARIS CEDEX
Tel : 01 72 60 10 00 Fax : 01 72 60 10 10

Monsieur le Directeur,

Je viens de recevoir un courrier du docteur DEPREZ en date du 04/08/09 qui m’annonce que l’instruction médicale de mon dossier ne contient aucune anomalie et que mes uniques indemnités de rémunération réglées mensuellement par le receveur percepteur municipal de CANNES et non pas par vos services vont donc être supprimées d’autorité à compter du 13/07/09 pour non présentation à la convocation de cette même date, ce qui est entièrement faux et prouvé par l’attestation d’hospitalisation du CH de GRASSE du 13/07/09 fournie plusieurs fois à vos services.
J’espère donc que le Docteur DEPREZ n’engage pas la responsabilité juridique de la CNAMTS dans cette décision abusive et totalement arbitraire.
J’ai avisé dans un premier temps le Préfet des AM, le Président de la Cour d’Appel Administrative de MARSEILLE ainsi que les Procureurs de NICE et de GRASSE pour commencer à dénoncer publiquement cette erreur volontaire qui perpétue incontestablement la cabale de destruction sociale engagée contre ma famille par le maire de CANNES depuis 2001 et qui devrait normalement être rectifiée dans les plus brefs délais si nous sommes encore dans un état de droit et de justice sociale et où les pédophiles ne sont pas des fonctionnaires ou des élus protégés par des réseaux de pouvoir et d’argent qui les cooptent.
Je vous prie de croire Monsieur le Directeur en l’expression de mes salutations distinguées et en l’espoir que vous saurez peser indubitablement la portée publique exponentielle que l’on peut envisager manifestement de cette décision politique et médicale aussi partiale qui ne me laisse aucune alternative quant à sa diffusion en masse si elle perdure formellement.

VERDI Patrice.

PJ : Copie du certificat de passage et d’hospitalisation en date du 13/07/09 du CH de GRASSE.
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Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer

Child Trade Zandvoort Sectes Justice Prison Logement ID service Who'sWho Index


Le meurtre de Gina Pardaens-Bernaer
†15 novembre 1998 †
Assistante sociale, Gina Pardaens-Bernaer avait rejoint le Werkgroep Morkhoven, à l'occassion de la découverte du réseau Zandvoort, en juillet 1998. Elle travaillait au dossier Schadwald, du nom d'un petit garçon disparu d'Allemagne à l'âge de 11 ans et dont la recherche avait mené l'association, au réseau. Elle découvrait rapidement l'implication des services secrets allemands, par le beau-père de l'enfant, Rainer Wolf.
Elle commençait alors à avoir des problèmes de perturbations de téléphone, de fax et d'ordinateur. Elle recevait des appels répétitifs de personnes qui raccrochaient après un long silence. Belgacom, alors monopole d'état en matière de téléphonie, ne prétendait pas réussir à trouver l’origine des interférences, ni des appels anonymes. Leur enquête les avait mené à découvrir qu'une deuxième ligne aurait été ouverte sur son téléphone sans qu'elle ne l'ait jamais commandé et qu'il y aurait eut "un petit fil détaché".
C'est Gina Pardaens-Bernaer qui fit une copie d'un des cédéroms de Zandvoort et l'envoya à l'organisation "CIDE", qui à son tour la communiqua à Interpol. Elle avait découvert un "film snuff", où figurait le viol et le meurtre d'une petite fille et dans lequel elle avait reconnu un ancien associé de Michel Nihoul, célèbre dans le dossier Dutroux. Des hommes l'arrêtaient dans un train et lui dirent d'arrêter ses recherches. Depuis, elle se déplaçait en voiture, mais elle fut rapidement suivie. Elle notait les plaques d’immatriculation, parmi lesquelles d'une Mercedes grise qui s’avérera être celle de l’ancien chauffeur du bar "Dolo: le quartier général de Michel Nihoul à Bruxelles, où il rencontrait tous les policiers qui "rataient" chaque enquêtes relatives à l'exploitation sexuelles d'enfants.
Elle avait collaboré au programme télévisé "Faits divers" de la RTBF, avec le journaliste Dessart. Ils furent tout deux interrogés par la police judiciaire au sujet de l’affaire Schadwald. Les officiers semblaient d'avantage intéressés à leurs connexions avec le Werkgroep Morkhoven, qu'à la disparition de l'enfant. L'audition lui avait paru "hautement remarquable, intimidante et clairement dirigée afin de lui faire révéler sur ses sources", avait-elle dit au journal "De Morgen".
Le harcèlement téléphonique augmentait. Elle recevait des menaces de mort, de personnes dont les voix étaient déformées par un appareillage électronique. Suite de deux de ces appels, son fils, alors qu'il était sur sa bicyclette, fut renversé par une voiture dont le conducteur s'enfuit sans s'arrêter.
Quatre mois étaient passés depuis que Gina Pardaens-Bernaer collaborait avec le Werkgroep Morkhoven, quand le 14 novembre 1998 au soir, elle appelait Jan Boeykens, président de l’association. La communication était si brouillée qu'ils avaient des difficultés à s'attendre l'un l'autre, mais il parvint à apprendre qu'elle avait été objet d'une nouvelle série de menaces de mort:- "Avec ce que j'ai découvert", dit-elle, "soit la Belgique explose, soit je suis assassinée".
La nuit même, à l'aube du 15 novembre, sa voiture fut retrouvée écrasée sous un pont, sans qu'aucune trace de freinage n'ait pu être relevé, aurait pu démontré qu'ils avaient été sabotés. L'état de la voiture se passe de commentaire.
La Belgique n'a pas explosé. Le meurtre ne fut objet d'aucune enquête policière. Peu après, le bureau de son avocat, Maître Arnould, était cambriolé et des dossiers étaient volés.
Les membres du Werkgroep Morkhoven, qui admiraient Gina Pardaens-Bernaer, furent brisés par ce meurtre, qui aurait pu être évité si la police avait rempli son devoir. Le Mémorial de Zandvoort, à l'occasion du dixième anniversaire de la découverte du réseau sera aussi fait en son honneur.
Adieu Gina, on ne t'oubliera jamais...

lundi 10 août 2009

PEDOPHILIE ET RESEAU SATANISTE KRIPTEN

PEDOPHILIE ET RESEAU SATANISTE KRIPTEN

Incroyable, donc faux ?
Ce n’est pas la première fois que des adultes ou des mineurs affirment avoir participé ou assisté à des viols collectifs d’enfants qui s’achevaient par leur mise à mort. Aucune enquête digne de se nom n’a été menée pour vérifier le bien-fondé de ces déclarations, en fonction d’un dogme effarant : c’est incroyable, donc c’est de l’affabulation. Sans se demander, par exemple, comment des mineurs très jeunes pouvaient inventer des scènes (et pourquoi l’auraient-ils fait ?) qui ressemblent fort à ce que nous savons des messes noires. Voici quelques extraits de témoignages qui sont restés méprisés par la justice. Nous avons simplement changé les prénoms de ceux qui ont voulu briser le silence : Fabrice, cinq ans, évoque les cérémonies auxquelles son père l’emmenait :
Question : " Y avait-il d’autres enfants dans ces réunions ? " " Oui. " " Et quel âge avaient-ils ? " " Oh, je sais pas, moi. De deux jusqu’à quinze ans, parce qu’à quinze ans, ils les tuaient. Ah, j’ai oublié de dire cette partie. Un jour, ils m’avaient montré un enfant qui était mort, qui avait quinze ans, et il était dans un genre de truc que tu mets dans les cimetières, tu sais, ce genre de boîte que tu mets les gens dedans, tu fermes la boîte et tu les mets dans le cimetière. " " Et est-ce que tu connaissais cet enfant ? " " Non, mais après, ils m’ont dit quand tu auras quinze ans ce sera pareil pour toi. " " Est-ce qu’ils t’ont dit pourquoi ? " " Non, mais j’ai compris pourquoi. Parce qu’ils tuent chaque enfant juste qu’ils ont quinze ans, parce qu’après il y a un drôle de truc qui est ? ? ? ? ? ?. " " Combien d’adultes étaient dans ces réunions, à peu près ? " " · peu près, j’sais pas, moi. Y en a dans les quinzaine, vingtaine, douzaine ou onzaine. "… " J’avais pas parlé (à ma mère) parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient me tuer si je parle. " " Ça t’a fait peur, quand ils t’ont dit ça ? " " Oui. Et C. m’avait attaché pour que M. puisse me taper. " " Est-ce que M. t’a tapé ? " " Oui, et l’électricité aussi " " Où est-ce qu’il t’a tapé ? " " Sur la tête ."
Malgré les nombreux certificats médicaux qui attestent des violences subies par Fabrice, un jugement imposera un droit de visite au père. Condamnée à de la prison ferme pour non-présentation d’enfant, la mère a fui avec son fils à l’étranger.
Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste : " Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant.".
La sour de Paul, Mélanie, treize ans, dit avoir été témoin de scènes semblables : " Ils ont attaché un enfant sur une chaise. Ils ont mis un bandeau sur la bouche de l’enfant pour l’empêcher de crier. Ils m’ont dit de faire bouillir de l’eau (elle cite le nom des adultes présents) pour le brûler. B. regardait, prit une ceinture et frappa l’enfant avec. Ils l’ont violé. Tout ceci était filmé par J. J’ai assisté à des tortures, il y avait comme enfant N., une petite fille brune, un petit garçon et un petit garçon brun. "
Les enquêteurs ont estimé qu’" il se pourrait que (les enfants) aient alors inventé cette histoire guidés par les réflexions de leur mère ". La parole des enfants niée, l’affaire a été ramenée à un banal conflit parental pour la garde des enfants. Seule une enquête digne de ce nom aurait pu permettre d’écarter l’hypothèse d’une secte criminelle.
Même incrédulité lorsque Farid, un jeune adulte d’origine algérienne, évoque le calvaire qu’il a subi à l’âge de onze ans. Dragué sur la Foire du Trône, il est invité à des jeux de rôles par un individu déjà condamné pour attentat aux mours sur mineur. Piégé, il devient l’esclave sexuel des membres au sein d’un groupe baptisé " Alliance Kripten ", qui se réunit en sous-sol dans le quartier Saint-Lazare. Fouetté, brûlé à l’acide, Farid se retrouve aux urgences, à l’hôpital. 2 500 cm2 de sa peau sont brûlés au 3e degré. Menacé de mort, il n’a pas parlé avant d’être majeur. Aujourd’hui, il évoque ses jeunes compagnons de souffrance. Deux auraient été tués au cours de cérémonies en Belgique. Le réseau Kripten rayonnerait sur la France et le Benelux. Farid dit : " Je sais que la secte existe toujours sous un autre nom. Je sais qu’aujourd’hui d’autres enfants sont toujours prostitués à Paris. " En 1986 et 1988, plusieurs victimes du réseau Kripten ont porté plainte. Certaines ont parlé de Farid. L’affaire a été classée sans suite.
En marge de l’affaire Dutroux, en Belgique, le témoin X1 (voir ci-contre), Régina Louf, a révélé le calvaire de Christina Van Hees, une jeune fille, violée et torturée à mort en 1984 par un groupe d’adultes, dans une champignonnière. Prostituée dès son plus jeune âge, Régina, elle-même mineure, dit avoir été contrainte de participer au meurtre. Elle a donné aux enquêteurs des détails inédits sur le crime. Les restes calcinés de la victime ont été retrouvés dans la champignonnière. Mais Régina Louf a été déclarée folle et le meurtre de Christina Van Hess reste impuni.
En France, l’une des enfants identifiées sur le cédérom pédocriminel de Zandvoort (révélé par l’Humanité le 24 février 2000), aujourd’hui adulte, affirme avoir été contrainte de participer au meurtre d’un bébé, au cours d’une cérémonie sataniste. Une enquête serait en cours.
S. G.

PEDOPHILIE ET RESEAU SATANISTE KRIPTEN

PEDOPHILIE ET RESEAU SATANISTE KRIPTEN

Incroyable, donc faux ?
Ce n’est pas la première fois que des adultes ou des mineurs affirment avoir participé ou assisté à des viols collectifs d’enfants qui s’achevaient par leur mise à mort. Aucune enquête digne de se nom n’a été menée pour vérifier le bien-fondé de ces déclarations, en fonction d’un dogme effarant : c’est incroyable, donc c’est de l’affabulation. Sans se demander, par exemple, comment des mineurs très jeunes pouvaient inventer des scènes (et pourquoi l’auraient-ils fait ?) qui ressemblent fort à ce que nous savons des messes noires. Voici quelques extraits de témoignages qui sont restés méprisés par la justice. Nous avons simplement changé les prénoms de ceux qui ont voulu briser le silence : Fabrice, cinq ans, évoque les cérémonies auxquelles son père l’emmenait :
Question : " Y avait-il d’autres enfants dans ces réunions ? " " Oui. " " Et quel âge avaient-ils ? " " Oh, je sais pas, moi. De deux jusqu’à quinze ans, parce qu’à quinze ans, ils les tuaient. Ah, j’ai oublié de dire cette partie. Un jour, ils m’avaient montré un enfant qui était mort, qui avait quinze ans, et il était dans un genre de truc que tu mets dans les cimetières, tu sais, ce genre de boîte que tu mets les gens dedans, tu fermes la boîte et tu les mets dans le cimetière. " " Et est-ce que tu connaissais cet enfant ? " " Non, mais après, ils m’ont dit quand tu auras quinze ans ce sera pareil pour toi. " " Est-ce qu’ils t’ont dit pourquoi ? " " Non, mais j’ai compris pourquoi. Parce qu’ils tuent chaque enfant juste qu’ils ont quinze ans, parce qu’après il y a un drôle de truc qui est ? ? ? ? ? ?. " " Combien d’adultes étaient dans ces réunions, à peu près ? " " · peu près, j’sais pas, moi. Y en a dans les quinzaine, vingtaine, douzaine ou onzaine. "… " J’avais pas parlé (à ma mère) parce qu’ils avaient dit qu’ils allaient me tuer si je parle. " " Ça t’a fait peur, quand ils t’ont dit ça ? " " Oui. Et C. m’avait attaché pour que M. puisse me taper. " " Est-ce que M. t’a tapé ? " " Oui, et l’électricité aussi " " Où est-ce qu’il t’a tapé ? " " Sur la tête ."
Malgré les nombreux certificats médicaux qui attestent des violences subies par Fabrice, un jugement imposera un droit de visite au père. Condamnée à de la prison ferme pour non-présentation d’enfant, la mère a fui avec son fils à l’étranger.
Autre affaire. Paul, douze ans, dénonce plusieurs membres de sa famille agissant au sein d’un groupe sectaire, de tendance sataniste : " Ma marraine est entrée avec un bébé de quelques mois et elle l’a donné au grand-père. Le grand père a fait passer le bébé et il m’a donné un grand couteau avec des signes comme des lettres en bâton. Il m’a pris la main et il dirigea le couteau vers le bébé et on a tué le bébé. Il a récupéré le sang et nous l’avons bu un à un. Le grand-père m’a emmené dans l’ancienne maison de sa mère. Il a posé le bébé sur le lavabo en pierre et a repris le même couteau qu’il avait pris pour la cérémonie du sacrifice, il a récupéré une fois encore le sang et a commencé à découper l’enfant.".
La sour de Paul, Mélanie, treize ans, dit avoir été témoin de scènes semblables : " Ils ont attaché un enfant sur une chaise. Ils ont mis un bandeau sur la bouche de l’enfant pour l’empêcher de crier. Ils m’ont dit de faire bouillir de l’eau (elle cite le nom des adultes présents) pour le brûler. B. regardait, prit une ceinture et frappa l’enfant avec. Ils l’ont violé. Tout ceci était filmé par J. J’ai assisté à des tortures, il y avait comme enfant N., une petite fille brune, un petit garçon et un petit garçon brun. "
Les enquêteurs ont estimé qu’" il se pourrait que (les enfants) aient alors inventé cette histoire guidés par les réflexions de leur mère ". La parole des enfants niée, l’affaire a été ramenée à un banal conflit parental pour la garde des enfants. Seule une enquête digne de ce nom aurait pu permettre d’écarter l’hypothèse d’une secte criminelle.
Même incrédulité lorsque Farid, un jeune adulte d’origine algérienne, évoque le calvaire qu’il a subi à l’âge de onze ans. Dragué sur la Foire du Trône, il est invité à des jeux de rôles par un individu déjà condamné pour attentat aux mours sur mineur. Piégé, il devient l’esclave sexuel des membres au sein d’un groupe baptisé " Alliance Kripten ", qui se réunit en sous-sol dans le quartier Saint-Lazare. Fouetté, brûlé à l’acide, Farid se retrouve aux urgences, à l’hôpital. 2 500 cm2 de sa peau sont brûlés au 3e degré. Menacé de mort, il n’a pas parlé avant d’être majeur. Aujourd’hui, il évoque ses jeunes compagnons de souffrance. Deux auraient été tués au cours de cérémonies en Belgique. Le réseau Kripten rayonnerait sur la France et le Benelux. Farid dit : " Je sais que la secte existe toujours sous un autre nom. Je sais qu’aujourd’hui d’autres enfants sont toujours prostitués à Paris. " En 1986 et 1988, plusieurs victimes du réseau Kripten ont porté plainte. Certaines ont parlé de Farid. L’affaire a été classée sans suite.
En marge de l’affaire Dutroux, en Belgique, le témoin X1 (voir ci-contre), Régina Louf, a révélé le calvaire de Christina Van Hees, une jeune fille, violée et torturée à mort en 1984 par un groupe d’adultes, dans une champignonnière. Prostituée dès son plus jeune âge, Régina, elle-même mineure, dit avoir été contrainte de participer au meurtre. Elle a donné aux enquêteurs des détails inédits sur le crime. Les restes calcinés de la victime ont été retrouvés dans la champignonnière. Mais Régina Louf a été déclarée folle et le meurtre de Christina Van Hess reste impuni.
En France, l’une des enfants identifiées sur le cédérom pédocriminel de Zandvoort (révélé par l’Humanité le 24 février 2000), aujourd’hui adulte, affirme avoir été contrainte de participer au meurtre d’un bébé, au cours d’une cérémonie sataniste. Une enquête serait en cours.
S. G.

AFFAIRE Marcel Vervloesem

AFFAIRE Marcel Vervloesem

CITOYENS REVEILLEZ VOUS Pour le faire taire "ILS" sont prets à tout La cabale à l’encontre de Marcel Vervloesem est survenue en 1998, alors que le Président du Conseil de l’Europe le félicitait pour avoir mis à la lumière l’exploitation sexuelle d’enfants, avec 21 cédéroms de photos de crimes qu’il avait découvert dans la ville de Zandvoort, en Hollande. Les poursuites à son encontre n’ont été retenues que 5 ans plus tard, quand un protégé du présent Ministre de l’intérieur, s’était associé avec le directeurs des achats du E-gouvernement, dans une affaire comprenant la commande d’un enfant moldave à 1000 euros la nuit à partir d’une ville d’où avait opéré un des principaux pédocriminels de Zandvoort. La justice belge a retenu une cabale complémentaire, survenue au moment où une opération internationale la contraignait d’arrêter un pédocriminel, complice d’un membre du réseau Zandvoort. Il sera jugé en toute discrétion et en quatrième vitesse, pendant que Marcel Vervloesem sera incarcéré, laissé sans soins d’un cancer, jusqu’à ce qu’ils développent deux métastases. La confirmation de la condamnation de Marcel Vervloesem à une sentence à laquelle il ne peut survivre, pour des crimes que le corps médical le reconnaît incapable, vient au moment de la découverte que les autorités belges n'ont jamais transmis à la justice française, 20 des 21 CD-ROMS. La décision de faire incarcérer Marcel Vervloesem en dépit de son état de santé, vient au moment où la justice française est sollicitée de rouvrir le dossier, avec les 88.539 pièces que la Belgique avait retenu, en ce compris l’identification d’un magistrat. Signer la petition de soutien
http://droitfondamental.eu/phpbb2/viewtopic.php?p=144#144

AFFAIRE Marcel Vervloesem

AFFAIRE Marcel Vervloesem

CITOYENS REVEILLEZ VOUS Pour le faire taire "ILS" sont prets à tout La cabale à l’encontre de Marcel Vervloesem est survenue en 1998, alors que le Président du Conseil de l’Europe le félicitait pour avoir mis à la lumière l’exploitation sexuelle d’enfants, avec 21 cédéroms de photos de crimes qu’il avait découvert dans la ville de Zandvoort, en Hollande. Les poursuites à son encontre n’ont été retenues que 5 ans plus tard, quand un protégé du présent Ministre de l’intérieur, s’était associé avec le directeurs des achats du E-gouvernement, dans une affaire comprenant la commande d’un enfant moldave à 1000 euros la nuit à partir d’une ville d’où avait opéré un des principaux pédocriminels de Zandvoort. La justice belge a retenu une cabale complémentaire, survenue au moment où une opération internationale la contraignait d’arrêter un pédocriminel, complice d’un membre du réseau Zandvoort. Il sera jugé en toute discrétion et en quatrième vitesse, pendant que Marcel Vervloesem sera incarcéré, laissé sans soins d’un cancer, jusqu’à ce qu’ils développent deux métastases. La confirmation de la condamnation de Marcel Vervloesem à une sentence à laquelle il ne peut survivre, pour des crimes que le corps médical le reconnaît incapable, vient au moment de la découverte que les autorités belges n'ont jamais transmis à la justice française, 20 des 21 CD-ROMS. La décision de faire incarcérer Marcel Vervloesem en dépit de son état de santé, vient au moment où la justice française est sollicitée de rouvrir le dossier, avec les 88.539 pièces que la Belgique avait retenu, en ce compris l’identification d’un magistrat. Signer la petition de soutien
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Zandvoort - Coral - PEDOPHILIE FRANCE

Zandvoort - Coral

Quand le magistrat français se déculotta pour abuser de Nordine

Le Coral devint célèbre en 1977, à l’époque où les écrivains publiaient des romans de leurs amours avec "des enfants consentants", dans un langage ampoulé, en rimes, comme si cela pouvait effacer leurs crimes. Il s'agissait d'un "lieu de vie" pour enfants psychotiques et autistes, issu d'un mouvement visant à faire reconnaître le droit à la différance, à la tendresse et à la caresse... de vieux cochons en érection sur des enfants. Il s'agissait d'un "débat philosophique" et de "liberté sexuelle" d'enfants émotionnellement handicapés, que le Coral estimait faire partie d'une "thérapeutique nouvelle".
Deux jeunes patients auraient été laissé seuls au Coral, pendant que ceux qui en étaient responsables avaient emmenés les autres à une fête au village. Le cadet, âgé de onze ans, fut retrouvé mort, la tête noyée dans un seau d'eau. Son autopsie démontra qu'il avait été sodomisé. L'aîné fut jugé coupable mais irresponsable et enfermé en psychiatrie, comme s'il fut normal qu'il ait voulu "soigner" son ami de cette manière, ou que des enfants psychotiques et autistes soient laissés seuls, sans personne pour les surveiller.
En 1982, Jean-Claude Krief rencontra Willy Marceau, poète et maquereau d'enfants, tout deux âgé des 21 ans. Il lui fera découvrir le Coral, à Aimargues, un ravissant village du Midi de la France. Le mot de passe pour y rentrer était d’avoir lu "Visiblement, Je Vous Aime" de Claude Sigala, fondateur du Coral et cinéaste. Jean-Claude Krief avait passé son enfance en institution en raison de problèmes de santé de ses parents. Il avait gardé un très mauvais souvenir de "l'amour visible" qu'il lui avait été imposé à consentir, mais il passa l’épreuve du livre et s’infiltra au Coral, en tant qu’éducateur pour les enfants handicapés.
Il vit un défilé de l’internationale pédo-socialiste, les jeunes patients "soignés" par des ministres en place où à devenir, ainsi que par une bande de dandys pervers qui abusaient tranquillement de ces enfants, assurés de leur silence. Il découvrait une valise pleine de photos pédopornographiques, dont celle d’un administrateur du Coral: un magistrat français déculotté en train d’abuser de l'infortuné Nordine, âgé de 11 ans et qui ne parlera jamais, s’il est encore en vie.
Jean-Claude Krief dénonça l'affaire. Trois enfants du Coral avaient déclarés aux enquêteurs avoir été sodomisés et l'un des directeurs, Jean-Noël Bardy, reconnessait avoir eu de ces "activités sexuelles thérapeutiques". Trois cent quarante trois mandats d'arrêts étaient lancés à l'encontre de personnes qui se rendaient au Coral, apparemment d'avantage pour y assouvir leurs perversités sexuelles que pour observer des enfants handicapés. Parmi eux, Sigala, Marceau, ainsi que que les écrivains Matzneff et Schérer de la mouvance Tony Duvert, un journaliste du magazine pédophile "Gai Pied". Trois ans plus tôt, les écrivains avaient témoigné que Jacques Dugué n'avait pas abusé d'enfants, mais qu'ils avaient eu des relations sexuelles consentantes.

Matzneff & Scherrer: les pédo-philosophes
Le Capitaine Barril de la gendarmerie avait reçu alors instruction de stopper l’enquête du fait du nombre de personnalités : ministres, magistrats, journalistes, même un rédacteur en chef et un chroniqueur du journal "Le Monde", etc. Le dossier termina dans le garage du supérieur hiérarchique de l'enquêteur principal, avec celui de Kripten, un réseau satanique pédocriminel allié à la Belgique.
Michel Krief, frère de Jean-Claude, sera retrouvé mort. Tous croiront à un meurtre, excepté la police qui concluera à un suicide. Un faux procès-verbal accolé d'une signature qui ressemblait à celle de Jean-Claude Krief, blamant l'écrivain Shérer et le Ministre Lang d'abus d'enfants. Piège ou fausse signature, nul ne le sais mais Krief fut incarcéré pour cela dans la même prison que Sigalla. Le témoin principal fut invité à avouer par écrit avoir tout inventé par dépit amoureux pour le fondateur du Coral, avec un style ampoulé et une orthographe qui ne lui appartient pas, suite à trois "tentatives de suicide". Le juge Salzmann ferma l'affaire Coral avec quelques condamnations symboliques, malgré les aveux d'un des directeurs et les cris outrés des philosophes qui réclamaient la libération de la pédophilie, se prétendant victimes de "délit d'opinion".
Jean-Claude Krief, traité de mythomane, s'empressera d'apporter son dossier l’avocat Baduel, qui défendait une victime du réseau Kripten, car le même Willy Marceau inculpé du Coral, était de ceux qui avait prostitué son client. Kripten était allié par ses membres au réseau CRIES implanté dans les locaux de l’UNICEF à Bruxelles, et a Weinstein du réseau Nihoul/Dutroux. Toutefois, Baduel introduira un dossier pour la défense du maquereau qui se disait victime du réseau, pour avoir dénoncé ses concurrents! Les enfants passés par ces réseaux sont dans un tel état qu'il n'y a rien à craindre d'eux.

Comment l'alliance Coral/Zandvoort a été établie
En 1998, donc seize ans après le scabdal, l'association belge Werkgroep Morkhoven était sur les traces du réseau Zandvoort depuis dix ans. Les activistes étaient parvenus à mettre main sur leurs archives et les apportaient à la police. Ils enquêtaient sur la photo N°9, qui représente un adulte et un enfant tenant en main le pénis de l'autre. En rendant visite à une association suisse, Marcel Vervloesem, enquêteur principal, découvrait le dossier de Baduel et la photo de celui qui Krief disait être le magistrat.
Le juge Salzmann avait instruit de multiples affaires alliées au réseaux Zandvoort avec une maladresse égale, dont de Jacques Dugué qui avait été condamné à des peines symboliques, jusqu'à ce que trente ans plus tard, il ait récidivé sur les enfants des ses premières victimes. Il reconnaîtra alors être un des approvisionneurs de pornographie d'enfants du réseau Zandvoort. L'enquête sur Cécile Bloch dont la photo fut retrouvée dans les archives de Zandvoort, fut également menée par Salzman et piétine toujours. En revanche, Marcel Vervloesem, qui emmena le dossier Zandvoort en justice, sera condamné pour avoir entrave à la vie privée de cet enfant assassinée vingt ans plus tôt, suite à une plainte de son père qui l'avait reconnue sur un site hollandais, visant a identifier les victimes!
Dans les archives du réseau Zandvoort, des listes qui ont la particularité de nommer une série de criminels condamnés ou alliés à l'affaire.
· Claude Sigala: code 'S-24'. Condamné dans l'affaire Coral
· Willy Marceau: code '27'. Condamné dans l'affaire Coral. Il sera également inculpé dans l'affaire C.R.I.E.S. avec Philippe Carpentier, ex amant du Pasteur Doucé.
· Pasteur Doucé: code '*GR', fondateur du réseau "Christ Libérateur". Ex-amant de Phillipe Carpentier du réseau C.R.I.E.S. et de Michel Caignet du réseau Toro Bravo, le pasteur était en charge des abonnements de "Gaie France magazine" avant d'être assassiné.
· Michel Caignet: code 'ECH-5*', néo nazi, directeur de "Gai France", condamné dans le réseauToro Bravo.
· Magazine "Gai Pied": code 'ECH*' - de la mouvance Matzneff;
· Jacques Dugué, ami de Matzneff et Scherer, condamné à 30 ans de prison pour viol d'enfants. Il possédait quarante vidéos pédophiles, reconnu aussi en faire commerce avec Marc Dutroux.
· Jacques Delbouille: code '32', proche de Weinstein qui est membre des réseaux Dutroux et Kripten/Abrasax. Dénoncé par le Werkgroep Morkhoven, Delbouille fut arrêté pour 15m3 de matériel pédopornographique chez lui.


Le magistrat Marcel Danze
Preuve: passez la souri sur la photo (+ 18 ans)
Une gloire de la police belge cherche à blanchir le magistrat.
Il faudra deux ans aux autorités belges pour communiquer que la photo N°9 aux autres services de polices. Mais il ne lui faudra pas deux heures à l'inspecteur Zicot pour répondre que l’adulte figurant sur la photo N°9 serait Marcel Danze, un exploitant de vidéo club connu dans le milieu de la prostitution de Charleroi. Scotland Yard est formel: Danze n'est pas l'homme de la photo n°9, ce qui pour d'autres, se voit du premier coup d'oeil. Les calvities des deux hommes ont des naissances différentes. L'un a besoin de lunettes, l'autre pas. L'un ressemble à un magistrat, l'autre à une fripouille.
L'inspecteur Georges ZICOT n'aura jamais à expliquer pourquoi il s'est tant empressé à vouloir blanchir ce magistrat avec une fausse piste aussi magistrale et il a été promu de l’ancienne police judiciaire de Charleroi, en tant que commissaire police fédérale de Bruxelles. Il sera innocenté d'accusations de faux, usage de faux et escroquerie dans le cadre du réseau Dutroux. Spécialiste du vol de voiture, il était intervenu à plusieurs reprises à la faveur de cette bande. Il était accusé d'avoir orienté les soupçons de fraude à l'assurance envers des ennemis de service alors qu’il avait reçu des informations mentionnant Dutroux; d'avoir oublié d'avertir sa hiérarchie de faits importants dans le cadre d'affaires dans lesquelles Dutroux était soupçonné et d'avoir protégé celui désigné pour avoir "évacué" la voiture dans laquelle ont été enlevées Julie et Melissa.

En 2005-2006, les fausses pistes se multiplient.
L'avocat Baduel dira que Jean-Claude Krief était mort de mort naturelle, emportant avec lui le secret de son dossier et que son frère s’était réfugié dans un kibboutz en Israël. A l’opposé, le comité de soutien du magistrat assure que les frères Krief auraient été des agents spéciaux des services secrets français qui auraient, avec l’aide de la brigade des stupéfiants et du proxénétisme, fait un montage pour embêter un honnête magistrat qui lutte contre la pédophilie.
Pour résumer leur version : Jean-Claude Krief aurait confondu l’institut pour enfants psychotiques et autistes à un quartier général socialiste ; les services secrets l’auraient payé pour aller acheter des photos pédo-pornographiques dans des sex shops en Belgique et en Hollande. Son frère et lui se seraient inscrits au parti socialiste et chez les "autonomes", un groupuscule communistes violents, pour espionner l’un et manipuler l’autre, ce qui aurait mené non pas à la mort naturelle de Jean-Claude, mais au suicide de son frère Michel. Les services secrets, suspectés d'avoir assassiné Michel, auraient alors payé un billet d’avion à Jean-Claude afin qu’il puisse se réfugier en Israël. Rien de très logique.
En revanche, la mort tragique de Michel était susceptible de plonger toute la famille Krief dans un suicide collectif, ce qui aura pu inciter Jean-Claude à rétracter ses accusations. On constatera pourtant que ce ne sont pas les officiers des services secret, ni les bouillants jeunes communistes qui se laissaient photographier nu en abusant des enfants, mais bien un juge de la jeunesse allié à tout ce qui a de plus pompeux dans le gouvernement et la magistrature française. Son comité de soutien, scandalisé de la dénonciation de cet homme dont nul n’ose sortir le nom, de peur de voir sa famille suicidée et se retrouver en prison.

Pour rappel: l'eprit de l'époque
J U S T I C E

TENDRESSE
Trois nouvelles inculpations dans l'affaire du "lieu de vie" Coral.
Libération - le 20 octobre 1982
Six jours après l'interpellation des trois dirigeants du centre, le juge Salzmann a prononcer hier, trois nouvelles inculpations.
Vous comprenez, nous sommes dans un domaine extrêmement difficile. On accuse des gens de faits que l'on qualifie d'attentats à la pudeur et que les intéressés revendiquent comme des actes de tendresse. Me Jean-Jacques de Félice, un avocat désigné dans l'affaire du Coral, ne trouvait pas d'autres mots pour commenter le dossier d'interrogatoires sur lequel s'est fondé le juge Salzmann pour faire écrouer lundi soir le directeur du "lieu de vie", Claude Sigala et deux de ses collaborateurs, Alain Chiapello et Jean-Noël Bardi. "Mes clients protestent avec vigueur leur innocence et se disent victimes d'une campagne de presse, a ajouté Me de Félice, pour qui cette affaire relève presque "du débat philosophique".
Six jours après l'interpellation des trois dirigeants du Coral, il est toujours impossible de savoir les faits qui ont conduit à leur inculpation pour "attentats à la pudeur sans violence sur mineur de moins de 15 ans et excitation à la débauche". Certes, on évoque les auditions des trois enfants, anciens pensionnaires du Coral qui auraient déclarés aux enquêteurs avoir été l'objet d'attouchements et de sodomisations dans ce "lieux de vie". Mais pour Me de Félice, ces témoignages doivent être pris avec la même prudence et ce, même si l'un des trois inculpés, Jean-Noël Bardy, a reconnu devant les enquêteurs avoir participé a des "activités sexuelles" en précisant que "cette liberté sexuelle faisait partie d'une thérapeutique nouvelle".
Enfin, on parle d'un dernier élément retenu contre Sigala: on l'accuse d'avoir accepter le retour au Coral d'un ancien stagiaire, auteur en 1977 d'un meurtre précédé d'un viol sur un enfant de 11 ans. Jugé à l'époque "irresponsable" par les psychiatres, le jeune homme mineur au moment des faits, avait été interné en psychiatrie. Récemment, il serait revenu au Coral ou des mineurs se sont plaints de son comportement. Disparu depuis quelques semaines, il fait aujourd'hui l'objet d'un avis de recherche à la demande du juge d'instruction.
LE MYTHOMANE, LE JOURNALISTE ET LE JUGEJamais le vocabulaire du théâtre à l'intrique n'a été plus adapté à l'affaire Coral, en particulier à son dernier rebondissement: l'arrestation pendant 24 heures de René Schérer, professeur, écrivain, connu en particulier pour ses prises de position en faveur de l'abaissement de l'âge du consentement sexuel des jeunes. Une arrestation bien inutile, puisque René Schérer se serait rendu sans problème à une convocation chez le juge d'instruction, mais une arrestation destinée à toute hasard à discréditer le philosophe et en dépit d'une perquisition minutieuse , que le délit d'opinion à travers l'étude de ses manuscrits. Lesquels manuscrits lui ont valu la qualification "d'incitation de mineurs à la débauche" et ses lettres personnelles d'"attentat à la pudeur avec mineur de même sexe".Sur la foi d'une commission rogatoire digne de la loi des suspects, anonyme et générale, René Schérer a été emmené comme témoin forcé, et détenu après une perquisition de cinq heures. Pour que l'arbitraire se déclenche, il a suffit que se présente la combinaison suivante: un mythomane connu comme tel, accueilli à plusieurs reprises par l'équipe de Sigala, laquelle équipe était pour le dialogue systématique, abuse de la confiance des gens du Coral, les escroque et monte de toute pièce une dénonciation délirante qu'il va proposer sur le marcher de la presse. Voilà le mythomane. Ce mythomane a deux "parrains", sans lesquels son coup n'aurait jamais pu réussir: Un journaliste policier, nommé Jacques Tillier et un juge d'instruction nommé Michel Salzmann. Chacun d'entre eux, le mythomane, le journaliste à scandale et le juge d'instruction puritain habitué à "foncer" dans les affaires de pédophilie. Est-ce avant ou après avoir rencontré Tillier, journaliste du journal Dimanche, comme il l'a été à Minute, que Krief monte le coup du faux procès-verbal qui traîne dans les rédaction? Peu importe. Tous les journalistes refusent un texte si évidemment calomniateur. Mais le texte est encore assez bon pour le juge Salzmann.Pour monter à fond le "scandale", il faut un juge shérif Salzmann, connu par ailleurs pour ses méthodes expéditives et véritablement "obsédé" des affaires de pédophilie. Grand inquisiteur d'une "pédophilie" qui n'a jamais été en tant que telle un délit dans le code pénal, le juge Salzmann suit sa propre logique paranoïaque: René Schérer avait témoigné dans plusieurs procès pour défendre des adultes coupables de relations amoureuses consentantes avec des mineurs. Notamment, il avait défendu Jacques Dugué, affaire qu'instruisait le juge Salzmann. Le juge Salzmann hait les signataires de manifestes, ceux qui ont écrit pour la liberté sexuelle des mineurs: des noms circulent venant de son cabinet Gabriel Matzneff et Michel Foucault: et c'est René Schérer qui doit prouver son innocence contre le témoignage confus et contradictoire d'un mythomane: l'épluchage de son oeuvre, de sa vie est autorisé, brutalement pratiquée, parce qu'il a signé auprès de ces autres intellectuels des pétions et manifestes. Les manuscrits de plusieurs de ses livres ont été saisis. C'est bien le procès d'ensemble d'une opinion "libérale" en matière de mineurs que le juge Salzmann a décidé d'entreprendre, en inculpant symboliquement René Schérer, avec un dossier vide.

Bref, toutes choses estimées suffisamment graves par le juge Salzmann pour justifier la détention des trois intéressés. Détention que le parquet avait également souhaité pour Claude Sigala et Jean-Noël Bardy, mais avait exclu Alain Chiapello. Pour ce dernier, le parquet avait estimé suffisant une inculpation avec mise sous contrôle judiciaire. Il n'a pas été suivi par le juge Salzmann, lequel n'est, semble-t-il, pas prêt à s'en tenir là.
Lundi 18 octobre, il ordonnait notamment aux policier de la BSP, une perquisition chez René Scherrer, professeur de philosophie à l'université de Paris XIII, perquisition suivie d'un très long interrogatoire et d'une garde à vue qui s'est achevé mardi après-midi par l'inculpation de René Schérer pour excitation de mineur à la débauche. Accusé par l'unique dénonciateur de l'affaire, Jean-Claude Krief, d'avoir commis des "actes contre-nature" en sa présence, René Schérer a été innocenté lors d'une confrontation qui a eut lieu lors des interrogatoires. S'il est néanmoins inculpé, c'est comme lui a expliqué le juge Salzmann, "pour rester à la disposition de la justice".
Dans le cadre de cette même mission rogatoire, le juge Salzmann avait déjà la semaine dernière, fait effectuer une perquisition au siège de la revue des lieux de vie "Possible". Placé lui aussi en garde à vue, le directeur de la revue Roger Aufman fut longuement interrogé sur le fonctionnement du Coral où il s'était rendu en février dernier à l'occasion des "états généraux sur les lieux de vie." Après plus de 48 heures, Roger Aufman fut libéré sans inculpation. Hier, il a déposé une plainte auprès du doyen des juges de Paris pour "vol de fichiers". Au cour de la perquisition dans les locaux de sa revue, les policiers ont en effet saisit la totalité du fichier des abonnés. Certains on d'ailleurs à leur tour porté plainte pour "attentat à la liberté individuelle". Leur avocat a également alerté la commission nationale informatique et liberté, chargée de la protection des fichiers.
Les dénonciations de Jean-Claude Krief continuent à inspirer le juge Salzmann a en effet inculpé Willy Marceau, 21 ans, sans profession et Gérard Durant, 37 ans, professeur de flûte à bec. Le motif de l'inculpation est toujours le même: "attentats à la pudeur sans violence sur mineur de moins de 15 ans et excitation à la débauche". Willy Marceau a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire et Gérard Durant a été placé sous mandat de dépôt à la prison de la santé. On ne savait pas plus hier sur les raisons de leur inculpation ni sur les liens qu'ils ont pu avoir avec l'équipe du Coral.
Le directeur de la DDASS défend les lieux de vie.
Apprenant l'inculpation des trois responsables du Coral, le directeur de la DDASS du Gard, Bernard Abeil, s'est déclaré "indigné" par "le manque d'objectivité" de certains journaux. "Des contrôle ont bien été effectué, a-t-il précisé, les rapports avait mis l'accent sur un problème d'hygiène douteuse au Coral. Ajoutant que "s'il avaient eut vent d'une action pédophile, il aurait tout de suite engagé une action judiciaire". Face au principe même de ces "lieux de vie", le directeur de la DDASS du Gard a déclaré qu’ils pouvaient constituer une réponse face à certain cas douloureux d'enfants psychotiques. Quand les enfants atteignent les 16 ans, ils quittent les centre agréés et la seule alternative est de les renvoyés en hôpital psychiatrique. Les lieux de vie offrent une réponse face à l'éventail des placements.
Béatrice Vallaeys


Zandvoort - Toro Bravo
... Et l'alliance "Elysée"
Père Glencross, Pasteur Doucé, Michel Caignet, Hubert Védrine, Jean-Manuel Vuillaume, Philippe Carpentier, C.R.I.E.S, avec Bernard Alapetite, du réseau Coral
Au village de Saint-Léger-des-Vignes, dans le centre de la France, une maison en coin et un jardin de curé entouré d'une grille. Le père Glencross y vivait avec ses 5 fils, des adolescents qu'il avait adopté. Tous venaient de Colombie, sauf le dernier qui était péruvien. Dès que l'un partait, le Père Glencross retournait en Colombie et revenait avec un autre jeune garçon.
LES MONDES DE FRANCOIS MITTERRAND - E. Fayard - Hubert Vedrine - Secrétaire Général de l'Elysée de 1991 à 1995
Hubert Védrine, domicilié chez le père Glencross, dans le plus important studio de pédo-porno de France
Bref, François Mitterrand, qui n'avait de cesse de pousser devant les électeurs de nouvelles générations et de se constituer une réserve de responsables politiques, avait planifié ma candidature aux élections municipales dans l'est de la circonscription, à Saint-Léger-des-Vignes, sur une liste de jeunes socialistes. Après, si j'avais réussi la première partie du programme qui m'incombait, il veillerait à me faire désigner par l'assemblée départementale des militants comme suppléant, puisque représentant l'autre partie de la circonscription. Mais comment, lui demandai-je, être candidat dans une commune où je ne connaissais personne ? Il allait s'en occuper, me dit-il, en me mettant en contact avec des amis, les Maringe, qui me mettraient à leur tour en relation avec le curé de Saint-Léger-des-Vignes, le père Glencross, un anglais original échoué dans le Nivernais depuis la guerre, adoré de ses paroissiens et très proche des animateurs de la jeune équipe socialiste, Robert Billoué et Guy Leblanc. Ainsi fut fait.Je fus élu conseiller municipal en 1977 (réélu en 1983 et 1989)...

Le curé avait beaucoup d’humour et des amis influents, dont Hubert Védrine, le porte-parole de la présidence française qui était domicilié chez lui pour des raisons électorales. Il y avait des rumeurs que certains confondaient en ragots de village. Beaucoup le prenait pour un saint homme, lorsqu'en été de 1990, la gendarmerie découvrait 30.000 clichés chez lui: le plus grand studio européen de photos à caractère pédophile.
Le Père Glencross était ami du Pasteur Doucé, un militant homosexuel, ex-amant de Philippe Carpentier, président du réseau C.R.I.E.S et de Michel Caignet, un militant néo-nazi dont le visage avait été vitriolé. Ce dernier éditait "Gaie France Magazine" une revue mensuelle vendue 15.000 exemplaires dont une version portugaise. La communauté homosexuelle lui reprochait les tendances pédophiles du magazine et voulut l'en faire exclure. Le Pasteur Doucé était alors venu à son secours, en reprenant la gérance des abonnements. Il prenait des photos du Père Glencross et les publiait dans le magazine.
Le néo-nazi et le pasteur avaient pour collaborateur Jean-Manuel Vuillaume, un photographe qui tenait une galerie située à deux cents mètres du Sénat à Paris où il exposait des photos dites"artistiques" de petits garçons nus. Son revenu officiel était important pour l'époque, atteignant près de 350.000 euro l'an. Par ailleurs, Vuillaume avait un pied-à-terre à Bogotá, capitale de la Colombie où le Père Glencross était venu "adopter" plusieurs de ses "fils". Il y tournait des films pornographiques où figuraient des enfants, dont les cassettes étaient vendues en France 120 euro chacune.

A peine le Père Glencross était incarcéré, le Père Doucé était enlevé. Le premier mourait d'une crise cardiaque, et le deuxième était assassiné de plusieurs balles dans la forêt de Rambouillet près de Versailles. Caignet et Vuillaume bénéficiaient d'un non-lieu partiel. Les fils du Père Glencross semblent avoir été oubliés. L'affaire Toro Bravo fut fermée, sans que le porte-parole de la présidence française ne soit entendu.

Un Toro Bravo N°2 fut ouvert en fin 94 par la saisie d’une cassette vidéo chez un cadre parisien, avec les inculpés survivants de Toro Bravo N°1. En 1996, une grosse opération policière débouchait sur 72 arrestations, dont celle d’un autre collaborateur de la bande: Bernard Alapetite, un cinéaste qui partageait sa production entre art et films à caractère pédophile. Alapetite mena la police au réseau "Ado 71", dont 814 perquisitions, 686 interpellations, 103 mises en examen et 5 suicides.

Le réseau "Toro-Bravo" s'est adjoint la particule "Zandvoort" en 1998, lorsque les photos de Vuillaume furent retrouvées dans les archives du réseau hollandais, vendues par Internet via ses branches Appolo et Wonderland. En outre, Bernard Alapetite était également actif das le réseau Coral.